mercredi 30 mars 2011

Mourir pour des idées

Il me faut trouver une cause. Une cause sociale. Bien qu'on ne me demande pas de mourir pour mes idées - juste feindre, à tout le moins-, il me faut les assumer le temps de réaliser un travail de veille, d'information, de créer un réseau de sympathisants à cette cause. Je dois quand même y mettre volonté, énergie, recherche, conviction.

Une cause. Je suis bloquée depuis plus d'un mois. Laquelle choisir parmi ces causes aussi valables les unes que les autres !? Les orphelins du Sida? L'éthique en politique? L'environnement? Le voyage équitable? Le végétarisme? Le respect des animaux? La recherche sur le cancer du sein? La sclérose en plaques? Le développement d'un Haïti post-tremblement de terre coopératif?

Il y aurait tant à dire sur tant de sujets...

J'en ai choisi un qui sort de l'ordinaire : la perte.

On s'en recause.

3 commentaires:

  1. C'est un sujet bien plus vaste qu'il n'en a l'air. Qui peut se vanter de n'avoir jamais rien perdu, de n'avoir vécu aucun deuil, aucune peine, aucun vide? C'est une cause universelle, touchante, sensible. Je vais vous suivre là-dedans, certainement. On recausera de votre cause.

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  2. Tiens donc, Femme Libre, vous êtes rapide sur la gâchette ! Bienvenue ! :o)

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  3. Très intéressant Grande Dame (comme toujours)! Moi, mon thème de réflexion récurrent: Le rejet. Qui est une perte aussi, décidément...
    Et ma nouvelle cause, celle dans laquelle je met une nouvelle énergie, issue d'un tout nouveau temps libre (la sizaine a drôlement grandi!): Amnistie Internationale.

    Toujours contente de te lire et de suivre ton cheminement!

    France

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